Monique Dindinaud, praticienne en fasciathérapie à Gilly-sur-Isère
Qu'est-ce qui m'a ammené à la fasciathérapie?
Travaillant comme infirmière depuis de nombreuses années, je recherchais à me former à une méthode de prévention de la santé. Il y avait ces questions en moi: "Pourquoi ces maux ?", "Pourquoi ces mal-être ?", avec un besoin d'aller à l'origine et d'aider à prévenir ces déséquilibres.
J'ai découvert la fasciathérapie, suite à des douleurs de dos, j'avais lu un article sur cette méthode, il m'avait intéressée.
La première séance fut surprenante pour moi, en plus d'être soulagée au niveau des douleurs, je me retrouvais avec moi-même et découvrais ce lien corps-psychisme. J'avais des prises de conscience sur mon état global.
Cette méthode m'a intéressée par le côté très ancré dans le corps, par l'unité corps-psychisme que l'on découvre au niveau des fascias. J'appréciais aussi sa douceur.
On m'a parlé de l'école de fasciathérapie de Genève et j'y ai suivi les cours durant 4 années. J'ai pratiqué ensuite tout en continuant mon travail d'infirmière que j'ai arrêté en Août 2023.
Depuis cet arrêt, j'ai ouvert un cabinet de praticienne en fasciathérapie à Gilly-sur-Isère, juste à côté d'Albertville, en Savoie. Mes nombreuses années dans les soins me donnent une plus grande compréhension des différentes pathologies et m'ont entrainée à l'écoute.
Pour résumer
Par les fascias, on aide la globalité de la personne corps-psychisme, les personnes se sentent mieux physiquement et retrouvent plus d'élan au niveau psychologique. Le relâchement des fascias favorise des mouvements internes plus fluides et cela favorise le maintien de la santé.
Lorsque je réalise une séance de fasciathérapie, je suis très à l'écoute de la personne et de ce que je ressens des tissus. Cette écoute et ce respect ont beaucoup d'importance pour moi.
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